
Bien sûr le texte présente quelques avancées, mais ne donne pas à nos communes, à nos collectivités, à nos territoires les respirations attendues. L’amélioration de la situation des biens sans maître que j’ai défendue, figure parmi celles-ci. Mais la question de la compétence « eau », comme la libre administration des collectivités locales, le renforcement du pouvoir réglementaire local, l’exercice des libertés locales, les réponses attendues aux aberrations de règles d’urbanisme en milieu rural (et plus encore autour de nos lacs)… font l’objet d’amendements pour répondre au silence ou au refus du Gouvernement.