– l’origine de l’argent public,
– la capacité de désendettement,
– la soutenabilité dans la durée de la situation.
L’avenir de l’Etat providence est posé. Il nécessite que nous nous posions des questions sans tabou, notamment pour revoir notre système fiscal, et en particulier, c’est ma conviction, pour revoir le financement de notre protection sociale.
Deux sujets me semblent centraux :
Le niveau de dépenses publiques ne peut plus être le seul référentiel pour juger d’une politique publique. Il faut sortir de ce paradigme.
Garder une souplesse pour s’adapter aux crises certes, Affecter des ressources à notre désendettement en période de croissance serait encore mieux, enfin Respecter une parole, un engagement, une trajectoire à tout niveau : entre État et citoyens, entre État et collectivités, seraient plus que souhaitables.