
La CPME avance trois pistes que je soutiens totalement dans le dialogue qui doit s’ouvrir :

indexer l’âge de départ en retraite sur l’espérance de vie, comme le Portugal a su le faire par exemple,

développer la retraite par capitalisation en complément de notre système par répartition, seule condition à sa survie, en supprimant 3 jours fériés ou mieux en travaillant une heure de plus par jour,

et augmenter la CSG payée par les retraités pour l’aligner sur celle réglée par les actifs. C’est une question de justice générationnelle.