
J’ai été plusieurs années rapporteur de cette mission et le rapport que nous avions alors rendu sur les infrastructures ferroviaires avec mon collègue
Hervé Maurey continue à faire référence. Hélas les moyens qui devaient être consacrés en faveur de ces investissements ne sont pas à la hauteur des annonces faites à l’époque par le Gouvernement Bornes qui avait largement repris nos propositions.
Ainsi, les crédits de l’AFIT qui financent les infrastructures de transports (route et fer) sont en baisse ce qu’on ne peut que regretter, même s’ils restent au niveau de 2023 (3,7 milliards d’euros). Cela permettra d’assumer le financement des CPER, les mobilités du quotidien et la régénération de lignes, mais aussi d’amorçage des grands travaux du sud de la France.

En marge de ces discussions, j’ai pu échanger avec le nouveau ministre des transports, mon ami
Philippe Tabarot, pour obtenir des engagements fermes quant à la quotidienneté du train de nuit Aurillac – Paris.

Le matériel neuf (locomotive et voitures) sera bien affecté sur la ligne Aurillac – Paris et le passage à la quotidienneté de notre train de nuit sera bien effective dès que les travaux

sur la lignes seront terminés. On peut ainsi espérer ce passage à la liaison quotidienne à l’été 2025, sans doute au 1er juillet.
