Entre deux séances consacrées au PLF 2025, je partage ici trois temps forts de la journée sénatoriale qui concernent le Cantal.
Bravo à Agnès et à son équipe pour son initiative de cette journée au Sénat.
Merci à toutes celles et à tous ceux qui y ont participé d’avoir partagé un temps toujours trop court dans une journée dense.
Dans le cadre des Questions d’actualité au gouvernement (QAG), mon collègue Olivier Paccaud, Sénateur de l’Oise et rapporteur spécial de la mission budgétaire de l’enseignement scolaire, a interrogé le gouvernement sur la suppression de postes en 2025 et la manière dont celles-ci, que nous avons décidé de diviser par deux en commission des finances dans le cadre de l’examen du PLF 2025, seront opérées. Alexandre Portier, Ministre délégué chargé de la réussite scolaire et de l’enseignement professionnel, dans sa réponse, ouvre un véritable espoir pour les territoires ruraux et le Cantal en particulier. Pour la première fois un ministre de l’éducation parle d’aménagement du territoire, dit qu’il faudra avoir une approche différenciée…
J’avais eu l’occasion d’échanger avec lui dès sa prise de fonction sur cette question essentielle et pour laquelle nous attendons enfin des solutions opérationnelles, de bon sens et concertées.
Je me réjouis qu’il m’est entendu et reste très mobilisé sur ce sujet essentiel pour le Cantal sur lequel je me bats sans relâche depuis le début de mon mandat.
Nous allons très vite y revenir.
Le vote unanime moins une voix du Sénat pour s’opposer à la signature de cet accord est une réponse forte adressée à l’Europe et aux agriculteurs français.
Le Gouvernement est totalement mobilisée pour faire valoir l’opposition de la France à cet accord. Aidons le par nos votes et la démocratie parlementaire à faire valoir la voix de la France.
Non il n’est pas trop tard…
Nous pouvons gagner cette partie essentielle pour l’élevage cantalien.
Restons mobiliser et confiant.