– Adoption de l’article d’équilibre et du prélèvement sur recettes en faveur de l’Union européenne,
– Autorisation à percevoir l’impôt ce qui constitue la fonction première du Parlement,
– Indexation sur l’inflation du barème de l’impôt sur le revenu, ce qui dans les faits maintien les niveaux des tranches d’impôts,
– Instauration d’une contribution différentielle sur les hauts revenus,
– Adaptation des tarifs sur l’électricité et le gaz (voir ci-après),
– Maintien des financements du CAS FACE avec même un dynamisme (idem),
– Évolution de la taxe sur les émissions de dioxyde de carbone.
Je rappelle que l’importance de ce fonds qui permet au syndicat départemental d’énergie avec les moyens qui lui sont ainsi affectés de conduire des investissements indispensables pour toutes les communes.
Cela concerne 40 dépenses fiscales et permettrait de faire baisser le montant des dépenses fiscales de 351 millions d’euros.
Le Ministre de l’économie et des finances Antoine Armand a bien voulu reconnaître le bien fondé de mon amendement mais a considéré à juste titre s’agissant d’un amendement d’appel qu’il fallait conduire un travail de fond sur ce sujet avant d’acter cette suppression pour éviter tout effet de bord juridique.
Je l’en ai remercié et ai souhaité qu’un principe soit posé de limitation dans le temps de toute niche fiscale dès son instauration.
Un chantier à ouvrir dès janvier prochain pour une effectivité en 2026.
En effet, les niches fiscales concernent 474 dispositifs fiscaux dérogatoires et représentent une dépense fiscale estimée à 85,1 milliards d’euros par an.
Il s’agit là d’une véritable source d’économie pour notre solde budgétaire qui doit demain produire de vraies économies et sur laquelle j’entends continuer à m’investir avec force



