Face à ce nouveau contexte commercial, l’Union européenne entend continuer à diversifier ses débouchés. « Nous ne devons pas oublier que [sans accord] nous aurions été à 30 % le 1er août, et il aurait été beaucoup plus difficile de redescendre à 15 % », a souligné Ursula von der Leyen. « Nous intensifions la diversification vers d’autres régions du monde », a-t-elle encore déclaré, citant l’Indonésie, le Mercosur, le Mexique et l’Inde comme marchés potentiels pour les entreprises européennes. Pour l’Europe, le défi sera désormais d’absorber l’impact de ces droits de douane tout en développant de nouvelles opportunités commerciales à l’échelle mondiale. Bref, on comprend ici que l’accord sur le Mercosur va avancer contre les intérêts de l’agriculture française… Voilà la prochaine étape annoncée de la perte d’influence française !
Décidément le temps des prédateurs est bien advenu !



