🔥 Festival de la guérilla urbaine et de l’anarchie : ça suffit !
1️⃣
D’abord, je condamne avec la plus grande fermeté les violences qui se sont déroulées cette nuit à Aurillac et veux témoigner de tout mon soutien aux forces de l’ordre qui ont fait preuve d’un grand sens du devoir et ont permis de rétablir l’ordre. Je remercie aussi les sapeurs-pompiers qui sont intervenus pour faire face aux événements de cette nuit à Aurillac.
2️⃣
Aurillac a en effet connu une nuit d’émeute urbaine qu’on croyait réservée à d’autres !
Aurillac se réveille avec la « gueule de bois », avec un centre ville défiguré et une ville souillée !
Aurillac n’est plus la ville du formidable festival de théâtre de rue qu’elle fut, victime désormais chaque année de débordements, de violences, victime d’être devenue une tribune politique d’extrême gauche combattant tous nos idéaux républicains.
Aurillac est la destination estivale de marginaux qui veulent casser du « flic », détruire la ville, notre pays et ses symboles.
Aurillac qui bénéficiait d’une image favorable et d’une notoriété nouvelle grâce à ce festival inventé il y a plus de 40 ans, jouit désormais d’une mauvaise image, repoussoir, qui d’ailleurs se traduit tout au long de l’année par une dégradation de l’attractivité de son cœur de ville.
Aurillac ne peut plus supporter ni socialement, ni financièrement, ce rassemblement antirépublicain !
3️⃣
Il est temps d’agir. Malgré les précédentes alertes, il avait été décidé de continuer pour ne pas pénaliser la culture et les festivaliers. Mais il faut se rendre désormais à l’évidence : culture et festivaliers sont aussi les victimes de ce festival incontrôlé et désormais rassemblement politique de l’ultra gauche violente.
Cette violence n’est pas un accident, c’est la conséquence d’une confusion entre art et idéologie, qui alimente un climat de confrontation.
Il est temps d’en tirer les conséquences et de cesser tout financement public en faveur d’un événement qui a échappé hélas au monde de la culture.
Le contribuable ne peut plus financer un tel événement et les dégradations qu’il cause.
Il y a tant d’autres initiatives culturelles dans le Cantal qui mériteraient un soutien accru tant elles contribuent à l’ouverture, à l’élévation et au lien social.
La culture ne peut plus être confisquée par quelques idéologues violents qui militent sous couvert d’art.
Notre pays en peut continuer à sombrer et à être indulgent avec ceux qui veulent l’abattre !






