En ce jour anniversaire de ce qui a infléchi le cours de l’histoire, il y a maintenant 85 ans, du fait d’un homme qui reste un exemple de « doute et d’audace », je partage le très beau billet de Laurence Devillairs paru ce matin dans le journal « La Croix », et particulier l’approche qu’elle propose du pouvoir.
Il est en effet impossible en ce jour de ne pas parler du 18 juin…
Extraits :« Ce qui importe, ce n’est pas ce que l’on entend imposer ou décréter, c’est ce que l’on a à perdre.
Être au clair sur ce qu’on ne cédera pas, sur ce qu’il est essentiel de défendre.
Je rêve d’un retour du politique de ce qu’Arendt appelle « le dévouement au monde » et « le courage ».
Il s’agit de rendre les rapports entre les hommes et les femmes « plus humains, plus dignes », « de faire en sorte que chacun, là où il fournit son effort, au lieu d’être un instrument passif, participe activement à son propre destin. Voilà la grande réforme française qui doit être celle de notre siècle », déclarait de Gaulle en 1969 … »
