Cette dégradation n’a été compensée qu’à hauteur de -0,2 % par les mesures nouvelles de hausse des prélèvements obligatoires (notamment sur la TICPE), les annulations et gels de crédits en gestion, et la hausse moindre que prévue de la charge de la dette publique (6 Md€ au lieu de 9 Md€ du fait du repli de l’inflation).
− Une dégradation de 15 Md€ par rapport au déficit prévu par la LFI en comptabilité nationale (-140 Md€).
− Une dégradation de 9 Md€ par rapport au déficit prévu par la LFI en comptabilité budgétaire (-146 Md€).



