• Nos agriculteurs ne subissent plus la concurrence déloyale des autres pays européens, en les remettant sur un pied d’égalité ;
• Notre viande reste française, en simplifiant la vie de nos éleveurs et de ceux qui souhaitent le devenir ;
• Nos agriculteurs se voient garantir l’accès à l’eau sur l’ensemble du territoire ;
• Notre modèle agricole soit apaisé, notamment dans ses relations avec l’Office français de la biodiversité (OFB).
En janvier 2023, la Cour de justice de l’Union européenne a décidé d’interdire toute dérogation par les États membres à l’interdiction de mise sur le marché et d’utilisation de semences traitées avec des produits phytopharmaceutiques qui contiennent des néonicotinoïdes. Les États membres ayant accordé des dérogations, parmi lesquels la France, doivent donc y mettre fin sans délai. Le Parlement avait déjà adopté des dérogations et des délais. Aussi, la réintroduction des pesticides, mettant en cause la santé et la biodiversité, ne peut être une solution.
Nous ne pouvons en outre creuser davantage le fossé entre notre agriculture et la société.



