
Parmi les différents sujets traités, je veux revenir sur la question majeure des tarifs du transport scolaire qui concerne de nombreuses familles.
Pour résumer les arbitrages définitifs sur la convergence tarifaire scolaire qui interviendra à la rentrée de septembre prochain, et pour laquelle je ferai une série de réunions en avril à l’échelle des communautés de communes avec tous les Maires, je retiendrais sur les points majeurs suivants :

Droits d’inscription aux transports scolaires sur l’ensemble du territoire régional.

Sans distinction de régime (interne, demi-pensionnaire, externe).

Pour tous les élèves ayants droits et non ayants droits bénéficiant du transport scolaire régional : Accès à l’ensemble du réseau routier, car Region, car Region express, TER en Auvergne Rhône-Alpes.

Pour les élèves ayant ayant droit qui fréquentent une école, élémentaire ou maternelle : c’est le principe de la gratuité qui s’applique.

Pour les élèves ayants droits qui fréquentent un collège ou un lycée, tarif de 120 € par an, soit 10 euros par mois sur un an, sauf en Haute-Loire, dans le Puy-de-Dôme et en Savoie ou les tarifs en vigueur étaient historiquement plus élevés.

Pour les élèves non ayants droits, un tarif harmonisé à 225 € au lieu de 240€ comme initialement proposé pour être plus accessible sur le plan économique.

Pour toutes les familles, application d’une réduction tarifaire de 50 % par rapport au tarif des ayants droits pour le troisième enfant, payant (hors enfants en maternelle par exemple)

Gratuité à partir du quatrième enfant payant (hors enfant en maternel).

Pour les enfants de parents ayant un emploi saisonnier, l’application d’une réduction de 50 %.

Nous avons également fait un point d’étape sur la stratégie matériel et maintenance au niveau du matériel ferroviaire régional et acté la commande de 10 nouvelles rames pour 125 M€, inscrites dans l’effort d’investissement en acquisition de 1,6 milliards d’euros sur la période 2024 – 2035, de 1,3 milliards d’euros de maintenance lourde du parc et de 250 M€ consacrés aux ateliers de maintenance.
Investir pour les mobilités de demain est ainsi bien une réalité concrète !