J’ai répondu avec plaisir à l’invitation de Dominique Beaudrey, Maire de Boisset, et Vincent Vinot, Président de l’Association du Patrimoine Boisset Historique, qui organisaient au cours de ce week-end mémoriel du 11 novembre une exposition sur les Justes du Cantal. J’y ai aussi retrouvé avec bonheur Florian Morelle, Conseiller départemental et Maire de Maurs.
Je salue cette initiative bienvenue pour mieux faire connaître ces anonymes qui se sont comportés de manière héroïque, au péril de leur vie, dans la discrétion et l’humilité, pour venir au service des autres et sauver des familles et des enfants juifs.
Notre histoire balbutie et il est plus important que jamais de faire connaître aux jeunes générations ce que l’humanité a connu de plus inhumain pour éviter que cela ne se reproduise.
« Dans un monde où les différences tendent à nous diviser, l’histoire de Laurent Danguiral, de Blanche Uzols, de Jean-Louis Boissières et son épouse Andrée Cochet, ainsi que toutes ces familles restées souvent dans l’ombre, nous rappelle que l’entraide et la solidarité sont des valeurs éternelles. » Michel Danguiral.
Merci.
Heureux d’avoir participé à ce temps fort de la vie ytracoise :
– inauguration de la médiathèque et de logements Cantal Habitat,
– inauguration des aménagements du cœur de bourg,
– et surtout pose de la première pierre de la salle multi-activité intergénérationnelle.
J’ai salué l’ambition de la commune qui porte un tel projet autour duquel elle a su fédérer tous les financeurs publics permettant la faisabilité du projet.
Je veux en particulier souligner le financement à un niveau exceptionnel des crédits européens gérés par la Région #auvergnerhonealpes, près de 40% du projet, soit 1,4 M€, sans lequel le projet n’aurait pu voir le jour. L’occasion de saluer l’apport de l’Europe dans notre quotidien quand on parle trop souvent des seules contraintes qu’elle impose.
Nous avons été nombreux à participer à ce temps fort organisé de main de maître par le commune : Vincent Descoeur, Bernard Delcros, Sylvie Lachaize, Jamel Belaidi, Pierre Mathonier, Isabelle Lantuejoul, Christian Montin, le secrétaire général de la Préfet du Cantal et de nombreux Maires de l’agglomération.
Un très grand bravo à tous ceux qui ont contribué à la concrétisation de ce projet et désormais impatient de l’inaugurer.
Je veux aussi saluer la très belle réalisation de la médiathèque ouverte sur le jardin public et des logements à l’étage du bâtiment rénové en cœur de bourg.
Il fait bon vivre à Ytrac…
Impatient de découvrir les nombreuses réalisations de la commune conduites depuis le début du mandat, j’ai répondu avec enthousiasme à l’invitation d’Edwige Zanchi, Maire de Mauriac, et de son équipe municipale.
Le travail discret et constant réalisé depuis 2020 a porté ses fruits avec de nombreux aménagements au service du quotidien des mauriacois et de l’attractivité de la ville sous-préfecture.
– le réaménagement du square Cassin,
– la place Rosa et Auguste Bonheur (ex place de la Poste),
– les travaux de l’Hôtel de Ville.
Marie-Rosalie Bonheur dite Rosa Bonheur, née le 16 mars 1822 à Bordeaux et morte le 25 mai 1899 à Thomery, est une peintre et sculptrice française, spécialisée dans la représentation animalière. Adulée, elle connut une renommée incomparable, ses œuvres furent célébrées en Amérique et en France de son vivant. Tombée un temps dans l’oubli au XXème siècle, les œuvres de Rosa Bonheur enchantent de nouveau, en ce XXIè siècle.
Elle venait régulièrement passer quelques mois en été dans le Cantal, y trouvant l’inspiration, à Mauriac, entre autres où sa belle-famille tenait une auberge, avenue Charles-Périé, dans le bâtiment encore appelé « l’ancienne gendarmerie ». Elle a fait également des séjours à Pleaux et Chaussenac.
François Yzorche se lança dans la biographie de la famille Bonheur. Le dévoilement de la plaque de la place s’est fait en présence de son épouse.
Mauriac connaît aujourd’hui plusieurs signes positifs de développement qui ne peuvent que nous réjouir et nous encourager à poursuivre notre soutien. Voilà ce que nous avons tous confirmé à Edwige Zanchi et à son équipe : Jean-Yves Bony, Bernard Delcros, Marie-Helene Chastre, et la Sous-Préfète de Mauriac.
À très vite à Mauriac.
Ce moment est porteur d’espoir pour le développement de la ligne auquel nous sommes tous attachés.
Serge Dafix, historien local, a rappelé combien l’histoire de Neussargues est intimement liée à l’histoire du train et de la gare.
Patricia Rochès a aussi rappelé la place qu’occupe le viaduc de Gararbit sur la ligne, avec un classement en cours au patrimoine mondial de l’Unesco. Le défi de sa remise en peinture est désormais celui que nous devons relever.
Nous restons tous mobilisés pour renforcer la place du train. Les trains d’équilibre du territoire doivent être la priorité de l’Etat, la Région, je le rappelle, est



