Merci à elle d’avoir répondu à notre invitation pour une séquence de travail très dense à laquelle ont aussi participé Vincent Descoeur, Christian Montin, Isabelle Lantuejoul et de nombreux élus cantaliens.
Merci à Annie Delrieu-Tourtoulou, Maire, et à Domi Bru, Présidente de la communauté de communes, pour leur accueil.
– PLUi, RNU et loi Montagne,
– le logement comme levier essentiel du développement local,
– les défis des entreprises du bâtiment,
– le ZAN et la PPL TRACE,
– la rénovation du bâti à caractère patrimonial,
– la performance énergétique des bâtiments,
– le logement social,
– l’évolution de la réglementation concernant les diagnostiqueurs et les DPE,
– les problématiques de bâtiments menaçant ruines et dont les propriétaires ne sont plus identifiés,
– …
Des réponses ont été apportées ou le seront sur l’ensemble de ces questions et je ne manquerai pas de les publier sur mon site internet.
– les paradoxes des règles d’urbanisme et du ZAN qui nous condamnent à la double peine : territoire préservé et pourtant plus limité en construction pour répondre à la sobriété foncière,
– les évolutions attendues dans l’application excessive de la loi montagne et pour tenter de s’extraire de la loi littoral autour de nos lacs de barrage (relance du courrier adressé au Ministre Bechu sur le sujet),
– sollicitation d’une expérimentation au titre d’une offre de bâti de qualité dans le cadre d’un Pacte territorial thématique pour le Cantal, sur le modèle de ceux contractualisés avec la Creuse ou les Ardennes,
– attentes de l’adoption de la PPL dont je suis rapporteur sur la transformation des bureaux et autres bâtis non affectés à l’habitation (exemple des ex bâtiments agricoles) en logements,
– éclairages attendus sur la nomenclature ZAN, précisant les conditions d’artificialisation, et sortie des bâtiments agricoles de la référence de l’artificialisation,
– les besoins spécifiques du logement des saisonniers, en complément de celui des jeunes et des apprentis,
-…
Il est important à ce titre de conserver des moyens financiers d’intervention qui ont toujours un effet de levier positif au niveau économique, de l’emploi non délocalisable, de l’aménagement de nos territoires et du vivre ensemble.
De même, il importe de disposer de mesures d’adaptation aux réalités propres à chaque territoire.
Il est urgent de réaffirmer la volonté de la nation de faciliter l’accès à la propriété et de mieux « traiter » les investissements immobiliers qui ont été trop déconsidérés depuis sept ans. Heureusement, il semble qu’une autre orientation soit enfin à l’œuvre.



